Sous-mariniers La Créole

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THE CONFING DEAD - saison 2 - épisode 3 -

The Confing Dead – Saison 2 – Episode 3 – Jusque-là tout va bien !

 

Je préviens de suite ! Ce matin en before de l’Homme qui… ça ne sera pas drôle. Sautez ce paragraphe si vous êtes une âme sensible.

 

En ces heures sombres que vit le pays je n’ai pu m’empêcher d’opérer un parallèle avec la seconde guerre mondiale. Sur bien des aspects c’est désolant et rassurant. Le français n’a pas changé. Prompt à tout mettre sur le dos de l’Etat, se disculpant par le fait de ses propres faiblesses et lâchetés, on voit apparaître les zélotes des forces de l’ordres. Les délateurs s’en donnent à cœur joie dénonçant à tour de bras qui est sortie plus d’une heure, qui est sortie trois fois dans la journée, qui est suspecté d’AVOIR le coronavirus et qui est soignant. Il y a également les collabos. Ceux pour qui l’égocentrisme crasse et l’absence de sens commun les font s’absoudre sciemment de tout confinement. Agent propagateur de mort, assassin, einsatzkommando du XXIème siècle. Il y a également chez l’ennemis une force de propagande extrêmement sophistiquée. Sans cesse on matraque le peuple d’informations aussi mensongères que tendancieuses. Les serviteurs du Goebbels des réseaux sociaux déversent quotidiennement leurs flots de fake news, de conseils stupides et d’avis pour plomber l’ambiance, détruire le moral des Français. Puis il y a les donneurs de leçon, les « on aurait dû ! » ou plutôt « ils auraient dû ! », les « Si on avait ! » ou plutôt « s’ils avaient ! » mais qui eux ne font rien, rien qu’à critiquer gratuitement et alimenter la haine. Enfin il y a les profiteurs de tous poils, voleurs, arnaqueurs, vautours et rapaces abjectes. Désolant tout ça. Sauf qu’il y a celles et ceux qui jour après jour font tourner l’économie de guerre avec un esprit de résistance à la menace. Il y a les volontaires pour aller se battre au front et ces résistants qui partout en France s’organisent pour vaincre l’ennemis et permettre au plus grand nombre de vivre, de survivre. Comment ne pas passer sous silence l’action héroïque de notre commando Kieffer et de notre 2e division blindée qui de la tenue verte sont passés au blanc et au bleu.

Ne vous y méprenez pas l’ennemis c’est le COVID-19 et pas votre voisin.

 

Aller ami lecteur déstabilisé j’en reviens à plus de légèreté en t’offrant la suite de

 

L’homme qui avait une bite qui pesait deux tonnes

 

- Bein accouche mon pote. Elle est où ma caisse ? »

 

- Tu promets que tu ne te fâcheras pas mon Bébertnouchet ? »

 

L’inspecteur Harry aurait-il viré sa cuti ?

 

- Allez le n’Harrytosaure, crache ta valda. Merde, dis-moi où elle est ma bagnole ! »

 

- On roulait peinard les cheveux au vent sur la nationale qui mène du Casino de Carny-Barvil-Sans-Plage vu qu’on faisait quand-même un petit 15 Km/h de moyenne. Faut dire que pour faire monter tout le monde dans la bagnole j’avais baissé toutes les vitres et que ça faisait prise au vent. Alors un de tes collègues. M, J, D ou Y, lequel ? Je ne sais plus, fût pris d’une envie pressante d’allez arroser les pâquerettes. Je m’ai donc garé sur le bord de la chaussée et tes amis sont descendus avec leur foudre de whisky et ils m’ont dis de continuer sans eux. Ce que j’ai fais à la satisfaction de tous car l’autre avec ses chansons bretonnes y commençait à nous les briser menues. Oh ! Excuse-moi Albert, ça m’a encore échappé ! Deux kilomètres plus loin, j’ai entendu des beuglements sauvages provenant de la banquette arrière et la voiture a commencé dangereusement à tanguer. Me suis retourné pour m’apercevoir que le grand black avait entrepris la mère Hortense de Lafente Embiais en levrette. Je les ai donc déposés sur le bord de la nationale afin qu’ils continuassent leurs affaires sans nous faire prendre de risque sur la route. Y restait donc plus dans la voiture que l’ami Jules que parfois lorsqu’on a bu un peu trop de whisky on appelle Georges et ma pomme. Les autres 180 connards étant toujours dans le coffre convenablement fermé à clé. Et puis brusquement, quasiment soudainement ton copain Jules l’homme à la bite d’une tonne cinq, celui que j’avais moi-même ramené du Tonkin, me pique mon soufflant sans me prévenir au préalable, m’arrachant au passage une centaine de poils de dessous de bras. Putain ça fait mal ! Le vilain ! Et voilà-t-il pas qu’il me menace avec ma propre arme. Mon fabuleux 357 magnum, l’amour de ma vie, mon bébé, mon joujou, mon doudou, mon hibou, mon caillou, mon genou, mon pou, mon chou quoi ! Et tu sais ce qu’il me dit le Jules ? Celui que l’on nomme également Georges quand on a trop bu et bien, il me dit d’aller au Casino parce qu’il en a marre que le gérant utilise son merveilleux chibre qu’il a été obligé de lui donner pour rembourser ses dettes de jeux et que lui, ça le fait bien chier mais il n’arrive pas à s’habituer au tien. »

 

Albert PAULANDRE est tétanisé. La révélation///… de l’inspecteur Harry qu’il avait pourtant vu se jeter sous les roues dentées d’une montre à gousset qui passait par là, et qu’il avait là devant lui (Harry, pas la montre !) était par trop incroyable.

 

Tout ça pour ça ! Pensait-il incrédudule. Le Casino !

 

- Et elle est où ma bagnole ?

 

Vous voulez connaître la suite des aventures décapantes d’Albert PAULANDRE alors rendez-vous demain ?

Prenez soin de vous, prenez soin des autres et que la force soit avec vous.
NE SORTEZ PAS !
Jeudi 02 avril 2020



08/04/2020
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