Sous-mariniers La Créole

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The Confing dead - saison 1 - épisode 16

The Confing Dead – Saison 1 – Episode 16 – Jusque-là tout va bien !

 

Petites sorties dans le périmètre imposé de un kilomètre et une heure de temps, préparation d’une tarte aux pommes et d’une quiche aux lardons, solitude et enfermement.

Evasion par l’esprit, l’imagination, besoin de petits bonheurs, de découvertes improbables, de surprises et de liberté.

Puis il y a la méditation. Le sujet qui m’occupe actuellement est celui-ci :
Quand les dames sont disposées en quinconce, il n’y a sur chaque banc qu’un seul homme, qui est placé du bord opposé à celui où se trouve la dame de son aviron.


Méditation ou philosophie ? Ce n’est pas l’amour altruiste, ni rendre visible l’invisible, est-ce la vocation de l’art ? Nous sommes loin de ces abstractions métaphysiques.

 

On s’achemine tout droit vers la deuxième saison de The confing dead alors je vous présente la dernière livraison pour la saison 1 du célèbre feuilleton


L’homme qui avait une bite qui pesait deux tonnes


Il vit un peu de liquide ambré resté dans le tesson de la bouteille qu’il tenait. Une idée fulgura. Vif comme une limace Gordini faisant les 500 millimètres du Mans, il se leva et projeta le liquide sur le grand noir. Celui-ci reçut dans sa face les quatre gouttes qui lui dessinèrent le radeau de la méduse en monocolore et se tordit.


PAULANDRE se crut sorti d’affaire. Il se retourna et là, face à lui///… rien, le vide, le néant, le trou noir. Plus d’inspiration. Une seule solution, disparaître, s’atomiser, se pulvériser, rayé de la carte.
Fin de l’histoire. Terminé ces manipulateurs qui dans l’ombre de leur bureau traçaient sa destinée. Des cloportes, des moins que rien jouant avec sa santé. Il fallait se jouer d’eux.
Il n’existe plus Albert, mort, enterré, allez pleurer sur sa tombe.


Mais il savait que ces gars étaient capables de tout. Ils allaient le ressusciter, le maintenir en vie avec un goutte à goutte au wikiz, lui pourrir son paradis, lui faire le coup du « c’était pas ton heure ! », tout pour être finalement de très mauvaise humeur.


Albert, Albert, tu vas point te laisser abattre par des gars pas black mais qui jouent avec tes nerfs via les circuits du Net. Il faut se ressaisir et revenir aux vraies valeurs. Il faut les retrouver tes choses et c’est sûrement pas eux qui vont t’aider. Ils sont justes bon à te foutre sur des mauvaises pistes, les cons va !!!!

 

  • Comprends-tu après avoir assaisonné le grand noir et l’ami Jules, d'ailleurs il est où ce con, au bordel ? »


Toujours de très mauvaise humeur l’André (NDLR : Albert !).

 

L’Albert (NDLR : faut se décider à la fin !) décida de poursuivre sa quête, son Graal à lui, sa croisade perso pour retrouver son Jésus et pouvoir remettre le petit dans la crèche et pas dans la dèche.
Il continua à errer dans la rue. Sa marche solitaire et nocturne le conduisit aux halles. Et là ! Sous un tas de cageots, à l’abris des regards indiscrets un trou, un grand trou et au fond de ce trou tel un monument érigé à la gloire de toutes les bites, phallus et autres ornements propres au genre humain ou plutôt à la gente masculine, se dressait une reproduction de ses trésors, de ses choses à lui, ses inséparables.

Aurait-il pénétré dans un temple où l’on pratique des rites sexophoniques ? Aurait-on sacrifié son burin, sa perceuse à variateur et à vitesse réglable sur l’autel de quelques dieux phalliques ? Aurait-il pénétré dans l’antre des suceuses de bites et autres fellations ? Aucun doute, on lui avait dérobé son bien unique, faut-il le rappeler, pour en faire un objet de dévotion. L’affaire lui paru moins grave. Qu’on puisse adorer sa bite qui pesait deux tonnes, il faut bien l’avouer, n’était pas pour lui déplaire. Il se prit soudain à rêver, s’imaginant en gourou ou autre fornicateur, en roi de la baise dans un royaume sans mâle où lui-seul avec son terrible engin gouvernerait.
Un bruit ! Des bruits, une voix « de son maître », des voies « de chemin de fer » interrompirent sa rêverie. Les adorateurs de B et C permettraient dans le temple. (NDLR’s : Les adorateurs de bites et couilles pénétraient dans le temps ?!?). Pas de temps à perdre, Lucien (Re-NDLR’s : Albert !) se cacha sous un cageot ayant servi à transporter de la sole en provenance de la Manche plus précisément d’un petit village Normand ha bitté par quelques irréductibles normands du même nom. De sa cachette, il allait pouvoir assister à la cérémonie.
Tout commença par une gigantesque masturbation collective. Des sexes partout. Des petits, des gros, des à poils, des handicapés, des faux, des en plastiques, des plaqués or ! Enfin, tout ce que peut compter la planète comme genres. Albert crut-même reconnaître un extraterrestre qu’il avait récemment côtoyé avec ses potes D, Y, M et J un soir de beuverie. L’air devenait plus lourd. Les adorateurs s’astiquaient frénétiquement le membre. Albert sentit monter le désir en lui et curieusement une raideur, comme un sexe intérieur ! Serait-il parvenu à une dématérialisation de son sexe (Oui c’est compliqué mais il faut suivre.). Tout serait à l’intérieur, dans la pensée, je te regarde et je te baise.
Il décida de vérifier son hypothèse et descendit rejoindre///… l’inspecteur Harry qui l’attendait au sous-sol. L’inspecteur s’était pris de passion pour cette affaire qui devenait vraiment très-très-très-très-très-très-très-très-très compliquée. (« Doux euphémisme » NDLR).
- Mais t’es vraiment trop con Albert ! T’as rien compris !!!!" Hurla l’inspecteur aux oreilles d’Albert.
Décontenancé, Albert bredouilla quelques mots mais d’un geste Harry le fit taire. Il posa délicatement une main sur son épaule puis, très lentement se pencha vers l’oreille d’Albert qui s’attendait à une révélation de la plus haute importance. Contre toute attente l’inspecteur fit rapidement un pas chassé suivi d’un grand jeté. Il amorça un tour piqué qui se transforma en double salko suivi d’un saut de l’ange. Il enchaîna une double vrille, se laissa retomber en feuille morte, les jambes en grand écart.

 

Demain la suite des aventures truculentes d’Albert PAULANDRE ?

 

Prenez soin de vous, prenez soin des autres et que la force soit avec vous.


NE SORTEZ PAS !
Créé le lundi 30 mars 2020

 
 
 
 


03/04/2020
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