Sous-mariniers La Créole

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THE CONFING DEAD - saison 1 - épisode 13

 

The Confing Dead – Saison 1 – Episode 13 – Jusque-là tout va bien !

 

En ce moment je me pose beaucoup de questions du style : le temps est-il élastique ? Miel ou pâte à tartiner ? Rasage or not rasage ? Que serait-il passé en 39-45 si les sondages avaient existé ? De Gaule a-t-il raison vs a-t-il tort ? Puis, je cherche (donc je suis un chercheur ?) les fondements de la connerie versus l’art de comprendre et de s’adapter.

Sous l’influence de l’éducation et par l’exercice des facultés mentales, le crâne augmente de volume, le front se redresse, la physionomie s’éclaire et l’œil reflète les lueurs de l’intelligence et de la moralité.

 

En conséquence la question qui me turlupine (si, si, lecteur amical ça existe !*) est celle-ci :

 

Dans les cavernes de la Belgique vivait une population brachycéphale au crâne petit, au front fuyant, à la face prognathe, et d’une taille qui ne dépassait pas celle des Lapons actuels, tandis que les fossiles des Eyzies, au contraire, prouvent que les Troglodytes du Périgord avaient une haute taille, des muscles puissants et un crâne remarquablement développé. Alors ?

(* ce mot viendrait-il de la contraction de turlute et de piner ?)

 

Retour au réel et je vous livre un nouvel épisode de

 

L’homme qui avait une bite qui pesait deux tonnes

 

Oh, après tout, l’improvisation est encore sa meilleure arme, lui qui en était le champion.

Trois pas en avant et il était devant la porte du bouge. Sonnette à droite, un coup, rien !

Il attendit trente secondes et une autre impulsion sur le bouton, toujours rien, pas de mouvement. La nuit tombait rapidement dans cette ruelle glauque et glissante. Il ne devait pas traîner au risque de se faire trucider.

Une troisième impulsion mais modulée cette fois-ci, longue, suppliante. Il se prit à jouer sur ce bouton la troisième symphonie de bite au vent. A cette évocation, des larmes lui vinrent, sa veuve, ses orphelines le submergèrent. Il se trouvait impuissant devant cette porte obstinément close.

Reprenant ses esprits qu’il avait un temps laissé tomber, il se prit à tourner la poignée. Elle répondit la bougresse à la sollicitation. La porte s’ouvrit sur du noir. Un noir de chez noir, plutôt foncé et opaque à ne rien voir à travers. Il plissa les yeux à la recherche d’un indice, d’un objet. Rien !

Il s’avança à tâtons. Un mur lisse mais néanmoins rugueux le suivait sur sa droite. A gauche, le vide dans lequel il prit soin de ne pas tomber. Une pièce d’habitation pensa-t-il !

Il continua sa progression, ses yeux commencèrent à s’habituer à la semi-pénombre. Il distinguât un objet qu’il ne put immédiatement identifier. Mal lui en prit, un choc à la tête, une douleur et Albert chût lourdement sur le sol.

Le froid qui lui transperçait le dos le réveillât. Un petit bruit sec///… signe qu’on débouchait le champagne et qu’à proximité on ripaillait.

Malgré l’obscurité, Albert prit la décision d’entrouvrir la porte de sa prison et au fond du couloir se tenait un grand noir à l’aspect rebutant mais aux dents si blanches. L’homme de couleur tout de blanc vêtu s’affairait à réparer une montre à gousset.

Prudemment Albert entreprît de poursuivre son expédition. En silence il quitta son unique paire de chaussures multi-rafistolées. Soudain l’homme de couleur tout de blanc vêtu, apercevant Albert, émit un grognement tel Tom dans la case du même nom.

 

- Qué tu fous là toi ; toi n’en n’avoir rien à foutre ici ; si moi attraper toi ; moi faire gare au gorille à toi ! »

 

Pour Albert une décision rapide s’impose. Tel Bérurier dans « Garez vos poules les poulets sont lâchés » il balança dans les choses de l’homme de couleur tout de blanc vêtu un magistral coup de genou appuyé d’un revers, coup droit et balle de match.

KO pour le compte le grand black s’écroula. Mais une vérification s’imposait. L’homme black ne serait-il pas l’auteur du kidnapping de son précieux trésor (pour les initiés ?) Non ! Finalement les réputations sont surfaites, rien à voir avec son matériel. Le sien du vrai, du lourd, du costaud, pas de la petite biroute africaine.

 

Continuer sa quête dans cette maison, là était la vérité. Mais d’où venait le bruit de ces festivités ? Il fallait répondre à cette question.

 

Un tour à droite, deux à gauche, demi-tour et nouvelle pièce faiblement éclairée par un satellite de passage et qui avait fini sa tournée de mise à jour des montres à gousset, et là : horreur !!! Sur un lit, étendu comme mort, son ami, son frère, son double, l’inspecteur Jules Laverge camarade du Tonkin. Ce dernier officiait au 69 quai des Burnes. Un solide gaillard ce Jules. Un athlète accompli. Son sport favori, le trampoline à roulette sans filet et sans casque. Toute la difficulté de ce sport étant de retomber à côté dudit trampoline et de préférence sur la tête. Il est vrai que ce sport avait laissé quelques traces dans les mœurs de Jules, notamment de prendre son arme de service pour son sexe et inversement.

 

Albert PAULANDRE qui était toujours de fort mauvaise humeur, entreprît de réveiller le second-classe Jules. Rien à faire, le bougre empestait l’alcool de riz. Mais un détail attira l’attention d’Albert : Rien entre les jambes de Jules. Lui aussi on lui avait dérobé son arme de service !

L’affaire se compliquait. Ainsi il s’agissait d’un serial killer ou plutôt///…

 

 

Etant donné l’immense succès (3 likes par jour !) la suite au prochain numéro ?

 

Prenez soin de vous, prenez soin des autres et que la force soit avec vous.

 



30/03/2020
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